Les projecteurs ne sont pas encore éteints sur l’actualité autour du Pornhub. Qu’il vous souvienne, il y a peu, celui qui s’est donné comme mission de distraire les adultes avec des danses sexy, a été mis en prison pour possession de vidéos de viol et exploitations sexuelles de mineurs. Malgré le fait que la justice a fini de faire la lumière sur ce dossier, le monde des travailleuses de sexe n’a plus connu de quiétude depuis l’affaire Pornhub. Prises de rage mais surtout touchées par ce qui se dit sur elles, les travailleuses de sexe donnent de la voix.
Une nouvelle réglementation en ce qui concerne la diffusion des vidéos pornographiques
Lorsqu’il est question de pudeur et de mœurs, plus rien ne freine les parlementaires dans le vote des lois et les prises de décisions. Les nouvelles mesures qui seront prises constituent d’ailleurs des barrières empêchant les artistes de la pornographie à vivre de leur art dans le secret dû à leur profession.
En effet, selon Kate Sinclaire, il est fort probable que les différents résultats issus des enquêtes portent préjudice au professionnalisme et au travail. Pour rappel, Kate s’est tournée vers la photographie pour surmonter ses peurs, son stress et son traumatisme. Après ce qu’elle a vécu avec son compagnon, elle n’a trouvé que cet endroit comme refuge. Aujourd’hui, on s’interroge sur le sort de son travail avec cette nouvelle réglementation.
Des témoignage face au comité pour se faire mieux comprendre
On n’apprendra pas aux députés que tout come eux, les travailleuses de sexe ont des droits. Mieux, elles exercent dans un domaine qui est légalisé dans plusieurs états. Il serait donc juste de leur permettre de s’exprimer afin de défendre leur profession.
Si toutefois ils ne donnent pas satisfaction, tout porte à croire qu’ils ont peur de se retrouver devant une des filles qui les pointent du doigt estime Sandra Wesley. Chris Warkentin, répond à cette attaque en demandant que les interventions soient faites par écrit. Sandra Wesley insistera sur le fait que cela n’apportera aucune évolution dans les débats. Il faudrait parler de vive voix.